
Echo et Narcisse
2013
dimentions variables, miroir 50×50 cm, bloc de sucre 70 cm3
techniques mixtes
Un bloc de sucre sculpté évoque un rocher. Avec l’érosion produite par les conditions climatiques la corde qui l’entoure se détend et vient libérer le poids relié à celle-ci, brisant ainsi un miroir posé sous le poids. Dans ce cycle le mythe s’accomplit. Sur ce poids on visualise en toile de fond un portrait numérique d’Albrecht Durer, père fondateur de l’auto-portrait comme genre pictural.
Paul écrivait à Paul, on ne le changerait pas
2005
120,5×80 cm
acrylique et huile sur toile, cadre
La fiancée du vampire
2012
80×80×220 cm
Techniques mixtes
Sous forme d’une cabine dans laquelle on ne peut pénétrer. Une fenêtre permet de voir qu’à l’intérieur les surfaces sont peintes en noir mat et qu’une lumière néon verte vient éclairer la pénombre. Sur la porte en face du cadre de la fenêtre est accroché un miroir. Toutes les deux minutes un dispositif envoie de la fumée dans la cabine, notre reflet dans le miroir disparait. Une ventilation évacue peu à peu la fumée.
Lunar caustique
2006
120×140 cm
acrylique et huile sur toile
L’émile ou l’empire des lumières
2015
105×74,5×7,5 cm
huile sur toile, bois (sapin et chêne), câble
Les femmes de la nuit
2010
env. 40 cm3
techniques mixtes
Les sirènes 5
2013
40×50 cm
acrylique et huile sur toile
Parallélépipède sur socle
2004
36×30,5 cm
glycérophtalique et gouache sur bois
